Sculptant l’absence pour invoquer nos mémoires et nos sensations, Cécile Léna nous invite à un voyage dont la douceur et la singularité renouvellent la place du spectateur. Une expérience magique, à ne rater sous aucun prétexte ! Gros coup de cœur !

Sur un post-it griffonné par un spectateur, on lit ces mots : « Retour à l’Union après un quart de siècle. Émotion. ». Et oui, n’en déplaise aux grincheux férus de seuls classiques, le CDN avait besoin de faire entrer dans sa salle le présent. C’est ce souffle d’air frais qu’Aurélie Van Den Daele fait souffler dans sa programmation. Ainsi, l’an passé, on avait reçu comme un uppercut l’extraordinaire Étang de Gisèle Vienne et hier, on sortait du cycle Léna d’Azy heureuse d’avoir été touchée, délicatement déconcertée et conquise.

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