Théâtre de l’Union - Salle de répétition
Durée : 1h20
À partir de 14 ans
mar. 28 avr. 2026
20h
mer. 29 avr. 2026
20h
jeu. 30 avr. 2026
19h
Distribution
Avec Marie Blondel, Julien Bonnet, Marianne Fontaine,
Côme Thieulin
Texte Compagnie du Dagor et Anton Tchekhov
Direction artistique Cie du Dagor
Lumières et régie générale Samuel Bourdeix
Scénographie Cie du Dagor
Costumes Sarah Leterrier
Création sonore Adrien Ledoux
Diffusion Nadine Dupont
Production
Production Cie du Dagor / Coproduction Cie du Dagor, Gallia Théâtre-Scène conventionnée Art et création de Saintes, Scène nationale d’Aubusson – Théâtre Jean Lurçat / Accueils en résidence Théâtre de l’Union – CDN du Limousin, Scène nationale d’Aubusson – Théâtre Jean Lurçat, Expression 7 – Limoges / La Cie du Dagor est conventionnée DRAC Nouvelle-Aquitaine / associée au Gallia Théâtre-scène conventionnée d’intérêt national Art et Création de Saintes / soutenue par la Région Nouvelle-Aquitaine au titre de son fonctionnement

CONCEPTION COMPAGNIE DU DAGOR
Dans A lonely place, quatre personnages expriment leurs désirs… coincés dans une boucle temporelle !
A lonely place, c’est un endroit hors du temps, tout autant solitaire qu’esseulé, où se retrouvent deux femmes et deux hommes. Quatre personnages, comme tout droit sorti•e•s d’une scène rêvée d’une pièce de Tchekhov. Ruminant leur désir d’ailleurs, leurs regrets enfouis, leurs rêves un peu fous. Et leur joie à être là, aussi. Comme condamné•e•s à jouer sans cesse la même pièce de théâtre, elles et ils vivent un éternel recommencement, avec l’espoir de se réinventer, de réécrire leur histoire, et, surtout, de la continuer. Peu à peu, la communication ne passe plus par les mots mais pas les corps, ils et elles se lançant alors dans une danse infinie. Le décor minimaliste et la mise en scène originale plongent le spectateur dans un espace suspendu entre rêve et réalité. A lonely place confronte l’âpreté du réel au besoin de s’en extraire par la poésie et l’onirisme. Comme un acte de résistance ouvrant la possibilité d’un rêve et d’un espoir pour chacun, pour chacune.
© Julien Bonnet
