Stages théâtre et danse
Chaque saison, le Théâtre de l'Union propose des stages.
S'ils sont destinés aux amateurs, ces ateliers sont néanmoins envisagés d'un point de vue professionnel : chaque atelier est dirigé par des artistes dont nous accompagnons le travail.
Nous vous proposerons durant la saison 2020/2021 :
> Stage clown "Gilles et Gramblanc vous mettent à table"
Proposé les 21 & 22 novembre 2020
Par Gilles Defacque et Jean Lambert-wild
> Cours de danse tahitienne
Par Mahealani Amaru
STAGE CLOWN / Gilles et Gramblanc vous mettent à table
Proposé par Gilles Defacque et Jean Lambert-wild
Les 21 & 22 novembre 2020
Argument :
Monsieur Loyal et Auguste sont sur la piste depuis une éternité (voire plus…)
C’est la joute entre eux deux.
Le Duo se met « en marche » !
Les Extrêmes dialoguent.
L’aire de jeu est ouverte (=Open)
Les gens du voyage peuvent se poser.
Et prendre l’air.
Stage pour les « gens »
Un chemin de clowns en mangeant les dialogues Monsieur Loyal-Auguste
proposés par G.Defacque et Jean-Lambert Wild.
Les « Entrées Clownesques » d’avant déboulent au XXI° siècle.
LES INTERVENANTS
Gilles Defacques | ©D.R.
GILLES DEFACQUE
Directeur, auteur et metteur en scène du Prato
Théâtre International de Quartier à Lille et Pôle National des Arts du Cirque.
Ancien professeur de Lettres, né dans une salle de Bal-catch-cinéma Le Mignon Palace à Friville-Escarbotin (Somme). Le Prato, fondé dans les années 70, par des clowns et des fous de théâtre de tréteaux, est aujourd’hui une équipe de création et un lieu de diffusion, de production et de transmission. Gilles Defacque y joue et crée ses saisons comme ses spectacles en explorant les formes les plus multiples du rire et de la poésie.
AUTEUR DE SPECTACLES, il met en scène des grandes formes pluridisciplinaires en salle ou sous chapiteau comme « Opéra Bouffe Circus » (2002), « Mignon Palace » (2007), « Soirée de Gala (forever and ever) » (2013) et prochainement « L’Aile du Radeau (Don Quichotte à la dérive) » (2019) ; fou d’improvisation et de littérature, il réalise des formes à géométries et terrains variables, répond des thématiques, à partir du «Tournage Imaginaire » et du « cabaret-Express », avec des circassiens, des fanfares, déclinées en fixe ou déambulatoires (pour exemple : « T’aimes trop l’ ballon rond mon amour » odyssée ferroviaire pour Le Channel Calais en 1998, « Deûles d’amour » pour Lille 2004, « Les Noces de Port-Selène » pour Les 20 ans du Vivat en 2010, « Autour de Chagall » pour l’exposition Chagall au MUba et « Les Lignes d’Erre de Deligny » en 2015, « La Double Vie Rêvée de Jack M » en 2017-2018) ; un conte pour enfant « Les Aventures de Madame Mygalote Sorcière professionnelle à tête d’hélicoptère et à pieds de bagnole » (spectacle, exposition, médiation).
A ECRIT ET INTERPRETE DES SOLOS : « Bégaiements (autobiographie de la vie vécue d’un petit homme) », « Ça partirait de Friville-Escarbotin », « Loin d’être fini ».
A MIS EN SCENE LE REPERTOIRE : Louis Calaferte « Les Mandibules », « Aux armes, citoyens » (Opéra de Lille, 1990) ; Samuel Beckett « En Attendant Godot » (co-production (La Métaphore) Lille/Tourcoing, 1993), « Fin de Partie » (co-production CDN de Normandie – Comédie de Caen, 1997) et « Oh Les Beaux Jours » (co-production Le Phénix SN de Valenciennes, 1999).
FAIT LE CLOWN depuis 1976, avec notamment Alain D’Haeyer dans l’anthologique « Polka des Saisons » ; aujourd’hui avec Clément Delliaux de la Cie L’Oiseau Mouche et l’auteure Samira El Ayachi dans « Clément ou le Courage de Peter Pan » (novembre 2017) ; le transmet aux plus jeunes lors de temps de recherche tel que « Le poème à l’épreuve du clown », « Le Clown » (Ecole de Cirque de Lomme, Ecole du Nord…), « Le Clown à l’épreuve de la piste (formation continue du CNAC), en accompagnant la naissance de nouveaux monologues clownesques tels que celui de Ludor Citrik (depuis 2003) ou celui «Maryline» (1994), Janie Follet « Moi y’a une chose que j’comprends pas… c’est la beauté » (2006), « Pauline Couic » (2011) ; les clownesses de L’Ouvrier du Drame (mai 2014)…
INTERPRETE, a joué dans : «Outrage aux Bonnes Moeurs» (1983) ; « Edmond » de David Mamet, Ballatum Théâtre (1986) ; «Conversations nocturnes» du chorégraphe Jean Gaudin (1991) ; « Les Barbares » d’après Gorki par Eric Lacascade (Cour d’Honneur du Palais des Papes, Avignon 2006) ; « Gilles » de David Bobée (Théâtre du Peuple à Bussang, 2009) ; dernièrement « On aura pas le temps de tout dire » de L’Interlude T/O, ses textes mis en scène par Eva Vallejo, musique en live de Bruno Soulier (Avignon 2018).
AUTEUR : il a été joué : « C’est pas nous ! » mis en scène par François Godart (prod Comédie de Picardie, 2010). Edité : «La Grand’ Maison qu’on rêve» (éd. Mihali) ; «Le Chant d’amour au marché de Wazemmes» ; « Fragments d’un discours amoureux sur champ de culture de terrain » (Les Nouveaux Dialogues Dunkerque) ; « Le Nord de la Frite » (éd. Robert) ; « Parlures 1 – une entreprise poétique de publication des écritures (et dessins, photos) de Gilles Defacque » (éd. Invenit / le Prato) ; à l’occasion de son exposition « Journal d’un quelqu’un » (2011) : « Parlures 2 » (éd. Muba / Invenit / le Prato, 2011) ; « La Rentrée Littéraire de Gilles Defacque – Créer c’est résister » (éd. La Contre Allée, 2014) ; ces publications font l’objet d’une lecture-spectacle « La Rentrée Littéraire de Gilles Defacque & autres Parlures ». D’autres Attractions littéraires, le plaisir de la lecture allié à celui de la musique telles que « Effroyables Jardins » de Michel Quint, « Histoire d’une mouette et du chat qui lui apprit à voler » de Luis Sepulvada ; en préparation « L’Aille du Radeau » autour de Cendrars, Cervantès, Kerouac, Bessette…
Un compagnonnage originel avec les musiciens : a interprété et écrit le concert des «Les Broc’s» (concert), le CD « Arnaud Van Lancker – Chez Gilles ».
EXPOSE : en même temps qu’il écrit, il dessine et photographie – son « TPR Traité de la Photo Ratée », au MUba Tourcoing « Journal d’un Quelqu’un », Musée De Puydt à Bailleul « Cartels Décalés », à Beauquesne « Journal d’un Quelqu’un – Station La Grange », Cenne-Monestiés, « Le Sport » à Dunkerque et L’Entorse Lille, …
Gramblanc dans Coloris vitalis | ©Tristan Jeanne-Valès
JEAN LAMBERT-WILD
Jeunesse
Son père, éleveur, sera à l'origine de la création, en 1979 de la Sica Révia, coopérative agricole qui regroupe en 2012, 323 éleveurs de bœufs à la Réunion. Enfant, il vivra l’aventure de la création de cette coopérative comme une épopée initiatrice dont la mythologie reste présente dans nombre de ses écrits. Il ne rêve alors que "de mer, Conrad, et piraterie". Après plusieurs tentatives rocambolesques de quitter son île sans attendre sa majorité, il finit par rejoindre la métropole en 1990. Il débarque donc à Lyon et débute alors des études de philosophie qui le conduiront jusqu’en Licence à l’Université de Lyon III, où son professeur de latin André Arcellaschi l'encourage à monter des pièces de Plaute, Sénèque ou Gombrowicz. Alors qu’il s’apprêtait à passer le concours d’entrée de l’école de Marine Marchande, il assiste à une représentation des Trois sœurs de Tchekhov mise en scène par le metteur en scène allemand Matthias Langhoff, et réalise que le théâtre est le véritable espace de liberté qu’il recherchait.
Parcours artistique
Il fera son apprentissage du théâtre auprès de différents maîtres de la mise en scène : d’abord Michel Dubois qui lui ouvre, grâce à l’intérêt qu’il trouve à ses textes, les portes de la Comédie de Caen. D’apprenti, il deviendra progressivement assistant à la mise en scène, construisant ainsi progressivement les bases de sa grammaire théâtrale. Il sera ensuite assistant de Jean-Yves Lazennec, de Philippe Goyard et surtout de Matthias Langhoff durant plusieurs années.
En 1990, il écrit et met en scène Grande Lessive de Printemps qui sera présentée au théâtre de l'Espace 44 à Lyon. Cette aventure marquera le début de la construction de son Hypogée, œuvre complexe qui occupera toute sa vie.
Son Hypogée se compose de trois Confessions, trois Mélopées, trois Épopées, deux Exclusions, un Dithyrambe et 326 Calentures.
Au fil des ans et des œuvres, il constitue ainsi une autobiographie fantasmée qui irrigue son travail pour la scène dans le corpus de l’Ecmnésie, et des Calentures.
L'Ecmnésie regroupe les Confessions, les Mélopées et les Épopées de son Hypogée ainsi que ses autres projets d'envergure.
Les Calentures quant à elles, sont des petites formes performatives allant de 15 à 45 minutes créées pour des occasions ou des lieux divers et variés (festivals, centres d’art contemporain, théâtres hors les murs, piscines municipales...) et qui interrogent l'espace théâtral. L'illusion et la magie y tiennent une place importante. Elles sont les fureurs poétiques tantôt burlesques, tantôt tragiques que traverse son clown en pyjama rayé.
À ce jour, une vingtaine de Calentures , 2 Confessions (Grande Lessive de printemps en 1990 et Crise de nerfs - Parlez-moi d'amour en 2003), 2 Mélopées (Mue en 2005, et La Mort d'Adam en 2010) et 1 Épopée (Splendeur et lassitude du Capitaine Marion Déperrier en 1999) ont été réalisées.
En 1997, il rencontre Henri Taquet, directeur du Granit-Scène Nationale de Belfort, qui lui donnera l’opportunité de monter ses premières productions théâtrales. Il s’installe alors à Belfort et cette nouvelle vie va lui offrir les conditions de son développement artistique.
La même année, il s'associe avec Catherine Lefeuvre, son épouse avec qui il aura deux enfants, le compositeur Jean-Luc Therminarias, l'éclairagiste Renaud Lagier, le régisseur son Christophe Farion, le scénographe Thierry Varenne et le régisseur général et éclairagiste Franck Besson pour fonder la Coopérative 326. C'est la première tentative en France de regrouper plusieurs corps de métiers artistiques et techniques, à partir des principes de coopération, de partage et de mutualisation. Il créé ainsi un réseau participatif et solidaire d’artistes, de techniciens, d’universitaires et de chefs d’entreprise. La Coopérative 326, basée à Belfort connaît un gros succès et rayonne sur toute la France. Ses spectacles sont notamment invités au Théâtre de la Colline, au Théâtre de l'Odéon, à la MC93 ou encore au Festival d'Avignon.
De 1997 à 2006, la Coopérative 326 est aussi l’occasion pour lui de poursuivre son travail d’écriture notamment avec François Berreur, directeur des Éditions Les Solitaires Intempestifs, commence la publication de plusieurs de ses textes. Par ailleurs, sa longue association avec le Granit - Scène Nationale de Belfort lui permet de tisser des liens privilégiés avec le public franc-comtois qui enrichit son goût pour un théâtre populaire et ouvert, exigeant et novateur. Ses aventures théâtrales à Belfort, relayées par le Granit, trouvent ainsi un ancrage public fort. Il alterne des productions aux formats variés (grands plateaux, petits plateaux, théâtre en appartement, Calentures etc..) avec ses propres textes ou des textes d’auteurs qui le passionnent, comme Pasolini ou Kafka... Il animera aussi nombres d’ateliers qui lui donneront une solide expérience pour la mise en place de pratiques amateurs. Avec le compositeur Jean-Luc Therminarias, il crée le label 326 Music qui éditera plusieurs disques (cf. Discographie). Enfin, la coopérative 326 est l’occasion d’un partage et d’une ouverture pour ses créations théâtrales : "le théâtre qu’il défend est par essence un art multi «médium», le lieu où les codes de toutes les disciplines artistiques s’expriment et font sens. Il constitue alors pour chacun de ses projets un phalanstère de collaborateurs et place au centre de ses créations la mise en réseau de compétences artistiques, techniques, scientifiques ou universitaires, afin d’explorer de nouvelles perspectives pour l’art théâtral et l’écriture scénique."
De nouvelles responsabilités
En 2007, il est nommé par le Ministère de la Culture à la direction de la Comédie de Caen, Centre Dramatique National de Normandie, fonction qu'il occupe jusqu'au 31 décembre 2014. Ce centre de création et de production crée et diffuse des spectacles au rayonnement national et international et accompagne au travers de son projet artistique des compagnies théâtrales indépendantes françaises et étrangères. Son ancrage en région lui permet de poursuivre son action de démocratisation culturelle et de développement des publics.
Il est nommé par le Ministère de la Culture à la direction du Théâtre de l'Union, Centre Dramatique National du Limousin, et de L'Académie, École Nationale Supérieure de Théâtre du Limousin à partir du 1er janvier 2015.
Spécificités de ses créations
Les créations que Jean Lambert-wild propose ont à cœur de questionner la création dramatique contemporaine à travers des textes du répertoire classique et contemporain. La place de l’acteur y est centrale et celui-ci est invité à dialoguer avec tous les aspects de la modernité dont sont dotées aujourd'hui les formes dramatiques. Il collabore souvent avec des artistes venant d'autres disciplines comme le plasticien et dessinateur Stéphane Blanquet pour l’art contemporain, la chorégraphe Carolyn Carlson pour la danse contemporaine, le plasticien Alexander Ponomarev pour l’art contemporain, le jongleur Jérôme Thomas pour le cirque, le réalisateur François Royet pour le cinéma, les magiciens Thierry Collet ou Marc-Antoine Coucke ou encore l'informaticien Emmanuel Mâa Berriet pour les nouveaux médias.
Collaborations internationales
Ses origines créoles, ses nombreux voyages effectués en Europe, en Afrique, en Amérique du Nord et du Sud et en Asie sont au cœur de plusieurs de ses projets (résidences, étapes de travail, invitations dans des festivals ou théâtres en Norvège, Hongrie, Danemark, Italie, Allemagne, Belgique, Suisse, aux États-Unis, au Canada, au Brésil, en Corée du Sud, au Japon, en Chine...).
Pour ces créations, il collabore régulièrement avec des artistes internationaux comme l’artiste Silke Mansholt (Allemagne), l’acteur Jeremiah Mc Donald (États-Unis), le chanteur David Moss (États-Unis), l’actrice Jacqueline Humbert (États-Unis), le danseur et chorégraphe Juha Marsalo (Finlande), la chorégraphe Carolyn Carlson (États-Unis/Finlande), les danseuses russes Elena et Olga Budaeva, l'acteur Keita Mishima (Japon), le metteur en scène Lorenzo Malaguerra (Suisse).
Il développe aussi un lien particulier et durable avec l’Afrique en travaillant régulièrement avec la comédienne burkinabée Odile Sankara (création de scènes nomades diffusées en France et dans une dizaine de pays africains) et en soutenant des artistes africains comme l’acteur et metteur en scène ivoirien Fargass Assandé ou Michel Bohiri.
Depuis 2012, il répond à l’invitation de Théâtres Nationaux qui lui commandent des textes dramatiques et des mises en scènes pour leurs acteurs permanents, comme le Théâtre National Hongrois à Budapest avec son texte l’Armoire du Diable (2013), le Shizuoka Performing Art Center (SPAC) de Shizuoka – Japon avec une transposition japonaise de son texte Splendeur et Lassitude du Capitaine Marion Déperrier qui devient Splendeur et lassitude du Capitaine Iwatami Izumi (2013).
Transmission
Son goût de la transmission, de la pédagogie et de la formation de l’acteur le conduit à intervenir régulièrement dans des classes d’art dramatique de Conservatoires Régionaux mais aussi dans des Universités Françaises et étrangères (Sorbonne- Paris IV, l'UTC Université de technologie de Compiègne, l'UTBM de Belfort-Montbéliard, The University of Texas à Austin- department of Art, The University CalArts à Los Angeles-Center for New Performance, California Institute of the Arts, au Iamas-University of technology de Tokyo..) ou des Écoles d’Art comme celle de Toulouse pour laquelle il a présidé en 2013 le jury d’attribution des diplômes. Il est aussi sollicité chaque année pour participer à des Colloques ou pour produire des textes critiques dans de nombreuses revues universitaires. Depuis septembre 2014, il est Maître de conférences à Sciences Po-Paris sur le thème : Fureur et Carnage dans le théâtre occidental.
INFORMATIONS PRATIQUES ET INSCRIPTIONS
- Ce stage sera proposé les samedi 20 novembre 2020 de 9h à 12h et de 14h à 19h & le dimanche 21 novembre 2020 de 14h à 19h au Théâtre de l'Union.
- Ouvert à tous (de 15 à 115 ans), cet atelier pourra accueillir jusqu'à 16 personnes.
- Prévoir d’arriver avec des vêtements confortables.
- Tarif : 75€ le week-end
(pas de possibilité de prendre de jounée à l'unité)
Port du masque obligatoire, les règles de distanciation et gestes barrières devront être strictement observés.
Renseignements & inscriptions auprès d'Isabelle Delbruyère
au 05 55 79 15 78 ou isabelle.delbruyere@theatre-union.fr
Dans la limite des places disponibles.
Inscriptions par ordre d'arrivée de la demande.
Merci d'attendre la confirmation par mail.
Il est nécessaire de réserver et de régler votre inscription
avant le lundi 16 novembre 2020.
COURS DE DANSE TAHITIENNE
Proposé par Mahealani Amaru
Les cours d’initiation à la danse tahitienne reposeront sur le travail
des pas de base ainsi que sur la création et l’apprentissage d’une danse.
Mahealani Amaru (ancienne élève de la Classe Préparatoire intégrée dédiée aux Outre-Mer de l'Académie de l'Union et actuellement élève de la Séquence 10 de l'Académie de l'Union) vous propose 10 cours sur la saison,
les lundis suivants (hors vacances scolaires)
de 19h30 à 20h30, au Théâtre de l'Union :
- lundi 5 octobre 2020 de 19h30 à 20h30
- lundi 2 novembre 2020 de 19h30 à 20h30
- lundi 16 novembre 2020 de 19h30 à 20h30
- lundi 30 novembre 2020 de 19h30 à 20h30
- lundi 7 décembre 2020 de 19h30 à 20h30
- lundi 4 janvier 2021 de 19h30 à 20h30
- lundi 25 janvier 2021 de 19h30 à 20h30
- lundi 1er février 2021 de 19h30 à 20h30
- lundi 29 mars 2021 de 19h30 à 20h30
- lundi 10 mai 2021 de 19h30 à 20h30
Par ailleurs, trois stages intensifs vous seront également proposés :
- samedi 7/11/2020 de 14h à 16h30
- samedi 30/01/2021 de 14h à 16h30
- samedi 10/04/2021 de 14h à 16h30
L'INTERVENANTE ET LE CONTENU DES COURS
"Je suis née et j’ai grandi à TAHITI, mon pays natal.
Pays où mon foyer m’a baigné dans la culture traditionnelle.
La danse tahitienne, je la pratique depuis mes 7 ans au sein du Conservatoire Artistique de la Polynésie française “TE FARE UPA RAU” où j’ai été formée par Erena UURA, Vanina EHU, Moon VAEHAKAIKI (professeurs titulaires du conservatoire) ainsi que Hinavai RAVEINO
(meilleure danseuse du HEIVA I TAHITI 2015).
De plus, j’ai eu le plaisir et la chance d’être élève de Moana’ura TEHEI’URA (danseur professionnel de danse tahitienne) qui m’a fait danser dans l’un de ses fabuleux spectacles PĪNA’INA’I 7.17, manifestation culturelle
mariant la culture polynésienne à celle du moderne.
J'ai obtenu mon diplôme traditionnel de danse tahitienne 2018, regroupant la pratique de la danse tahitienne, l’art oratoire en tahitien, la culture générale et civilisation polynésienne ainsi que des cours de chorégraphie.
Cet été 2020, j'ai eu l'immense chance d'être marraine d'un Festival polynésien organisé par l'association de danse tahitienne, TAHITI NUI. J'ai pu partager de beaux moments avec les polynésiens qui vivent en France et intervenir pour un 'orero (discours tahitien conté) ainsi qu'un 'ori tahiti marathon.
Partager mon expérience est pour moi une manière de faire découvrir,
et découvrir avec les élèves.
En effet, faire découvrir la danse tahitienne afin de partager cette pratique mais aussi et surtout accompagner les élèves
dans leur imaginaire du monde polynésien.
L’initiation se déroule en deux parties :
Premièrement, la technique.
Apprendre la base des pas de danse tahitienne et décomposer les placements de pieds afin de mieux gérer son espace.
Deuxièmement, la création.
Parler avec l’imaginaire corporel et gestuel polynésien.
De plus, retenir une chorégraphie particulière pour travailler la mémoire."
INFORMATIONS PRATIQUES ET INSCRIPTIONS
- Ouvert à tous (de 15 à 115 ans), cet atelier pourra accueillir jusqu'à 15 personnes.
- Il faudra se munir d’un vêtement de rechange, d’une serviette,
de quoi boire ainsi que du fameux pareu (pagne ou paréo) sous lequel vous pourrez, si vous le souhaitez, porter un legging.
Port du masque obligatoire, les règles de distanciation et gestes barrières devront être strictement observés.
- Ce stage sera proposé les lundis précédemment cités de 19h30 à 20h30 au Théâtre de l'Union.
Tarif : 50 € les 10 séances
(pas de possibilité de prendre de cours à l'unité)
- Trois stages intensifs seront proposés les samedi 7/11/2020 de 14h à 16h30, samedi 30/01/2021 de 14h à 16h30 et samedi 10/04/2021 de 14h à 16h30.
Tarif : 20€ la séance de 2h30 ou 50€ pour les trois séances de 2h30.
Renseignements & inscriptions auprès d'Isabelle Delbruyère
au 05 55 79 15 78 ou isabelle.delbruyere@theatre-union.fr
Dans la limite des places disponibles.
Inscriptions par ordre d'arrivée de la demande.
Merci d'attendre la confirmation par mail.
Il est nécessaire de réserver et de régler votre inscription
avant le mardi 29 septembre 2020.
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